Le repos

La fatigue entraine des maladies autres que les courbatures. Les maux de tête peuvent être intenses si vous ne prenez pas de repos. Détendez-vous et relâchez vos muscles. Évitez les nuits blanches et essayez de dormir suffisamment. Lorsque vous travaillez et que vous êtes toujours face à l’écran d’un ordinateur, accordez-vous des pauses en fermant un peu vos yeux. Il est important de faire des pauses pendant la journée. Cela évitera l’hypertension et d’autres maladies nuisibles à la santé. Pour vous aider, prenez une bonne douche chaude avant d’aller vous coucher.

L’acupuncture et l’ostéopathie

Pour relâcher le système nerveux, optez pour l’acupuncture. L’acupuncture est le fait de faire descendre le système nerveux parasympathique de la tête. Pour se faire, il faut mettre des aiguilles autour du crâne. Lorsque les aiguilles tombent au bout de quelques minutes, cela traduit la libération des tensions. En outre, l’ostéopathie a pour but de lever la tension musculaire de la nuque afin de réduire la tension misée sur le front. Pour le pratiquer, il suffit de mettre une main sur le front et l’autre posé sur la base du crâne, puis massez avec les pouces.

Les antidouleurs

Avant de prendre les antidouleurs, faites-vous consulter par votre médecin ou demandez l’avis d’un pharmacien. Ils vont vous prescrire des antidouleurs efficaces tels que le paracétamol, le perdophen. Ce dernier soulage les maux de tête rapidement. Associé avec l’ibuprofène et la lysine, qui rend le médicament efficace et actif contre les tensions et aussi les migraines. Prenez le temps de lire les notices surtout en cas d’allergie. Si le mal de tête persiste, veuillez consulter votre médecin pour qu’il cherche les causes de la douleur. L’automédication est déconseillée.

Jamais d’erreurs possibles dans les tests ADN ?

C’est le cas lorsque l’échantillon analysé a été contaminé d’une façon ou d’une autre. C’est également le cas si l’interprétation est trop difficile et alors, un criminel a pu être innocenté et inversement, un innocent a été condamné. Mais il y a aussi le cas où ce sont les criminels eux-mêmes qui laissent de faux échantillons sur les scènes de crimes ou sur le corps de leurs victimes. Dans ce genre de situation, le problème ne se situe pas au niveau des tests techniques mais au niveau de l’échantillon prélevé. C’est-à-dire que le criminel induit sciemment en erreur les enquêteurs et alors, les choses deviennent particulièrement compliquées.

Un cas d’erreurs

Dans l’affaire du docteur John Schneeberger en 1992, au Canada, qui a violé l’une de ses patientes qu’il avait volontairement droguée, il y a eu erreur par rapport aux résultats des tests ADN. Ce n’était pas les laborantins qui ont mal fait leur travail, non. C’était le docteur lui-même qui a agi délibérément pour que la vérité n’éclate pas. En fait, il a introduit un drain rempli de sang dans son bras, un sang qui ne lui appartenait pas, bien sûr. Donc, lorsque la police lui a fait faire une prise de sang, et ce, par 3 fois, elle n’a jamais réussi à établir la concordance entre ce sang et le sperme, et pour cause ! Ce qui montre que les preuves génétiques peuvent ont leurs limites.